Nom (famille adoptive) : TIl' UrnPrénom : AndreaAge : 16 ansAnnée : 6e annéeRôle : Nouvel ElèveDescription physique :
De longues jambes, endurcient par l'effort, portent les soixante-sept kilos d'Andrea
Une rose, allant de la tige épineuse à la fleur, noire, décore son dos bien taillé.
Ses bras , quant à eux, sont d'apparence normaux, mais les muscles du jeune homme sont bien présents. Son torse svelte et bien travaillé découche sur un long cou dont l'arriere est souvent recouvert de ses cheveux bruns, soyeux et fins.
Ses yeux, d'un vert d'émeraude, sont bien souvent, pour les malheur des jeunes demoiselles, recouverts d'une paire de lunettes de soleil.
Son nez est petit, sa bouche fine.
Signes particulers : - Une rose noire ayant la tige recouverte d'épine couvre le milieu du dos du jeune homme.
- Ses yeux, sensibles à la lumière du soleil, doivent être souvent revouverts d'une paire de lunettes de soleil lorsqu'il est exposé à une forte luminosité.
Description psychologique :Andrea est quelqu'un d'intelligent et avec beauoup de sang-froid mais il ne cherche pas à le montrer, ni à le cacher. Il est de nature calme et passionée, il ne cherche pas à se faire remarquer mais les lunettes de soleil qu'il porte souvent attirent plus l'intention qu'autre chose. Il n'est pas vantard et n'aime pas beaucoup ce qui le sont et qui se croient supérieurs aux autres. Il lui arrive d'enfreindre des interdictions, s'il le désire, mais essaie quand même de ne pas tout le temps agir ainsi.
Lorsqu'il a du temps libre, il joue de la musique dans un coin isolé, ne désirant pas être interrompu par n'importe qui.
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Histoire :Sous une pluie battante, un nourrisson pleurait, abandonné au bord d'une rivière. Un homme à cheval qui passait là par hasard, s'arreta en voyant le bébé, il hésita, regarda à gauche, puis à droite et enfin, il prit l'enfant avec lui.Le jeune garçon, agé désormais de sept ans, tirait son père par la manche pour le conduire vers la salle d'entraînement." P'pa, allez, viens ! Tu m'avais promis un entrainemet spécial aujourd'hui !- Oui, oui, j'arrive... "Andrea lacha son père et couru ouvrir la porte menant dans la salle où se déroulait tous les jours plusieurs entrainements au art martiaux.
Ils débouchèrent dans la grande salle, quitèrent leur chaussures et prirent places sur les tatamis.
Toute la journée, le père entraina son fils aux arts martiaux. A la fin de la journée, alors que les deux compères tombaient de fatigue le père d'Andrea lui fit une proposition." Andrea, tu a atteint un niveau inimaginable pour ton âge, je te propose donc un marché pour te récompenser : Si tu arrives à me touche ici avec ton pied ou ton poing dit il en montrant son coeur avec le pouce,
je t'offres ce que tu veux. "Le jeune garçon ne s'attendait tellement pas à une telle chose qu'il resta sans bouger, bouche bée, en regardant son père d'un regard ébahit.
Après quelques secondes, il reprit ses esprits." Mais... T'es sûr P'pa ?
- Absoment "Le jeune Andrea se lança, pensant fermement que la fatigue et l'age de son père se retournerait contre lui et qu'il pourrait toucher le coeur facilement.
Il oulia vite fait cette penser lorsqu'il se fit mettre à terre violemment par son père." Ouch...
- Haha, je ne me retiendrais pas fiston "Le jeune garçon enchaina rapidement toutes les attaques apprises au cours des dernieres années, en vain, lorsqu'il eu une idée. Il continua les attaques, simulant de plus en plus de mal entre chacunes puis fit mine de tomber de fatigue au bout de quelques minutes." Je vois qu'il est encore trop tôt pour que tu mérites une telle récompense. "Le père s'approcha de son enfant, se faisant prendre au piège.
Lorsqu'il s'accroupit pour soulever le jeune garçon, celui se leva d'un coup pour envouer son poing droit vers le coeur de son père, qui l'arreta grace à ses réflexes. Son père se releva, tenant toujours son fils par le bras. Andrea était sspendu au dessus du sol par le bras de son père. Mais malgré ça, Andrea ne se sentait pas encore vaincu, et envoya son pied dans la poitrine de son père, qui lacha prise sous l'effet de la surprise.
Andrea tomba lourdement sur les fesses mais il s relea quand même, en fixant son père avec un grand sourire." J'ai gagné ! "Le père, ayant reprit ses esprits le regarda d'un air satisfait.
" Effectivement, tu m'as eu. As-tu djà choisit ce que tu veux ?
- Hm, oui... Mon tatouage dans le dos me fait mal. Je veux quelque chose contre cette douleur.
En effet, une magnifique rose noire ornait une partie du dos du jeune garçon. Les parents adoptifs d'Andrea l'avait trouvé comme ça, le tatouage déjà gravé dans le dos.
Ils avaient tout essayé mais rien n'avait marché pour le retirer.
Le vieil homme accepta donc la requete de son fils, mais jamais il ne trouva ce que son unique fils désirait.
Apres plusieurs jours de recherche intense, il lui anonca tristement qu'il ne pouvait rien y faire, mais il lui dit qu'il pouvait quand même choisir un autre cadeau.
Andrea ne savait pas quoi choisir : il passait tout son temps à l'entrainement malgré les jeux dont il disposait déjà, il ne voulait donc pas demander à ses parents de lui offrir un jouet qu'il n'utiliserais qu'une ou deux fois dans sa vie. Il réfléchit longtemps avant de touver ce qu'il lui manquait : la musique. Il avait parfois révé d'être un grand musicien renomé, il se décida donc pour ce domaine là.
" Papa, Maman, je sais ce que je veux ! "Les deux parents sortirent de leur lecture pour dévisager leur enfant.
" Je veux un Violon ! "Andrea put contempler un spectacle rare : son père et sa mère le regardait, bouche-bée, sans aucun signe de vie.
Pendant toutes les vacances, le jeune homme ne faisait que du violon et des arts martiaux. Désormais, Andrea excellait dans ces deux matières, même s'il était bon aussi dans plusieurs autres instruments, le violon était de loin son préféré.
Cette année, celle de ses quinze ans, les parents d'Andrea décidèrent de l'envoyer à l'étranger : en Irlande.
Eux, ayant trop de choses a faireche eux et à leur travail, n'eurent pas le temps de venir avec lui, il le confièrent donc à de bons amis d'Irlande.
Alors qu'il passait de bonnes vacances, visitant un peu le pays de temps à autres, il apprit une très mauvaise nouvelle : ses parents veaient de mourir, noyés. Il sut par la suite que c'est en voulant sauvé sa mère des eaux, que son père succomba de la même façon.
Andrea se rendit rapidement dans sa maison. Tout était vide. Il ne restait rien dans la maison. Au moment où il allait partir, une main se posa sur son épaule, celle de sa tante.
Celle-ci lui expliqua qu'il ne pourrait pas hériter de la maison des ses parents car ceux-ci n'étaient tout bonnement pas ses vrais parents.
Les Irlandais, qui s'étaient attachés au jeune homme, lui proposèrent donc de venir habiter chez eux, en attendant de trouver une solution.
Le jeune homme continua donc de vivre et de jouer de la musique avec le violon, désormais dernier souvenir de ses parents.
Cette solution, il l'obtenurent l'année de ses seize ans, lorsqu'ils décidèrent de déménager. Avec son accord, ils le placèrent dans un pensionnat : Le Manoir au papillons...
Lun 3 Sep - 19:34
